Questionneur:
Certains groupes islamiques, qui prennent comme voie, la voie de la salafiya, certains appartenant à cette voie peuvent commettre une erreur ou tomber dans une divergence jurisprudentielle ou dans l’avancement de la dawah et après cela il est mis à l’écart à cause de sa divergence de leur émir ou de leur président. Donc est ce que cette mise à l’écart est éloigné de la base du minhaj salafi ?
Cheikh Al Albani:
Ce que j'entends maintenant dans cette question qu'un musulman est mis à l’écart du groupe et du groupe salafi dès qu'il a commis une erreur dans un sujet ou dans un autre.
Donc ce que je vois de cela n’est rien d’autre que la contamination (du minhaj salafi) par les autres groupes. Cette mise à l’écart fait parti du système de fonctionnement de certains groupes islamiques qui n'adoptent pas la voie salafiya dans la jurisprudence et dans la compréhension de l’Islam mais ce groupe (qui agit comme çà) a été submergé par quoi a été submergé les autres groupes comme conglomérat et rassemblement sur la base d’un état restrictif.
Celui qui sort de l'obéissance du chef (de ce groupe), on le met en garde une fois, puis deux fois, puis trois fois peut être, ensuite on juge de sa mise à l’écart. Il n’est pas permis qu’une telle chose (ce système de fonctionnement) soit adoptée par le groupe s’attribuant à la vérité, au livre d'Allah et au hadith du Messager d'Allah salallahou aleyhi wa ahlihi wa sallam et à la voie des pieux prédécesseurs.
Donc nous savons tous que nos pieux prédécesseurs et à leur tête les compagnons du prophète salallahou aleyhi wa ahlihi wa sallam étaient en divergence dans certaines questions et une telle divergence n’était pas, premièrement, une cause pour trouver quoique ce soit comme division entre eux contrairement à la divergence des khalaf (ceux venus après) qui est survenu à cause de leurs divergences dans les diverses écoles juridiques et méthodes jusqu à ce que beaucoup d'entre eux ne voient plus qu’il soit permis de prier derrière ceux qui les ont contredit dans leur école juridique.
Mais bien plus, cela est devenu une branche jurisprudentielle, ils l’ont (carrément) écrit dans leurs livres, donc ils ont dit dans leurs moutouns (textes juridiques) et dans ces moutouns de jurisprudence que la prière n’est pas permise derrière celui qui a contredit leur école juridique, ce texte est présent dans l’école hanafite et l’école shafiite et dans sharh taraa ou alhawaashii comme ils disent taraa al3ajib al3oujab, des explications que ne connaissaient pas les premiers salafs premièrement et deuxièmement que les salafis ne reconnaissent pas (ndt: comme règle jurisprudentielle conforme au Qur’aan et à la sunna) car Allah azza wa jel les a "préserver" de se trouver dans une telle situation pour leur connaissance que j'ai mentionné plus tôt et qui est que les compagnons ont divergé dans certaines questions et malgré cela ils priaient derrière un seul et unique imam.
Tandis que les khalaf nous trouvons leurs traces dans leurs différents mihrab jusqu’à ce qu’aujourd'hui nous trouvions dans Al Masgid Al Kabir quatre mihrab, le premier mihrab est hanbalite et le second Shafiite et le troisième, qui est au centre est pour les hanafite et le dernier mihrab jusqu’au coté Est de la mosquée est pour les malikites parce qu ils sont les moins nombreux dans ce pays.
Donc l'imam hanafite (de la mosquée) dirigeait les gens dans ce Masgid Al Kabir jusqu'à récemment, à l'époque de la colonisation par la France de la Syrie.
Ceci est l'héritage dont ont hérité les gens en Syrie de l'époque ottomane parce que les Ottomans étaient tous Hanafites, la France a o
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[12:26:01 AM]Www.Cheikhalalbani.com:
ccupé la Syrie, puis a mis en place un président de la République se nommant Taj Addin Husseini qui est l'un des enfants de Badr al Din al Husseini, dont on disait en son temps qu'il était le muhadith de toute la contrée du Sham, mais ce n’est pas le sujet maintenant.
L’important est que ce cheikh Taj Addin ibn Badruddin était un président républicain avec un turban blanc sur sa tête et sur son tarbush (chapeau rouge) parce qu’il a vécu comme cela et ceci faisait bien sûr parti de la politique française afin de garder le calme dans le pays qu’ils avaient colonisé.
Donc ils ont vu qu’il fallait mettre en place pour les musulmans un Président républicain âgé avec un turban, cet homme était shafiite alors il a changé le système de la prière donc il a fait prier l’imam shafiite avant l’imam hanafite , ceci fait parti des traces de fanatisme envers une école juridique et la recherche ici dans ce sujet est trés longue, mais il suffisant maintenant de ne citer qu’une référence rapide:
-Quant à nos pieux prédécesseurs , ils étaient une seule et même main et un seul et même bloc, ils priaient derrière un seul imam, peu importe comment cet imam avait fauté selon leur avis.
Il était possible de trouver chez les salafs quelqu’un qui disait bien plus que la divergence qui existe encore entre Hanafites et malikites par exemple.
Donc les hanafites sont d’avis que la sortie du sang de n’importe quel endroit du corps d’un volume de mille, dépassant un volume de mille fait perdre les ablutions tandis que les shafiites sont d’avis que cela ne fait pas perdre les ablutions.
On trouve parmi les pieux prédécesseurs celui qui a un avis semblable au joumhour des compagnons et dessus un consensus de la communauté plus tard que si un homme a des relations sexuelles avec sa femme et qu’il n’éjacule pas alors il ne lui est pas obligatoire de faire les grandes ablutions, ceci est l’avis de certains grands compagnons contredisant le joumhour des compagnons qui disent ce que le prophète aleyhi salaat wa salaam a dit (Si les deux sexes se touchent alors les grandes ablutions sont obligatoires qu’il y ait eut éjaculation ou non), ce hadith a été abrogé par sa parole aleyhi salaam (lorsque le liquide (de l’homme) qui se mélange avec le liquide (de la femme)).
Donc à certains compagnons est parvenu ce second hadith (lorsque le liquide qui se mélange avec le liquide).
Donc ils ont émis comme fatwa que l’homme qui a eut une relation sexuelle avec sa femme et n’a pas éjaculé alors il n’y avait rien sur lui hormis les petites ablutions et que les grandes ablutions ne lui était pas obligatoire mais à ces autres compagnons leur étaient parvenu l'autre hadith et qui est sa parole aleyhi salaam (Si les deux sexes se touchent alors les grandes ablutions sont obligatoires qu’il y ait eut éjaculation ou non).
Malgré cela tu voyais ceux la, prier derrière celui qui disait que les grandes ablutions n’était pas obligatoire pour cet homme, ceci ressemble beaucoup aux divergences qui existent entre les écoles juridiques jusqu’à aujourd'hui, mais nous voyons la grande différence entre la divergence des pieux prédécesseurs et la divergence des khalaf.
La divergence des pieux prédécesseurs était d’ordre de l’effort d’interprétation (ijtihad) et intellectuellement, mais elle n’était pas d’ordre physique, elle ne les divisait pas, par conséquent ils priaient derrière un seul imam, par conséquent est venu dans les livres des croyances saines que parmi les croyances des pieux prédécesseurs dont les khalaf ont hérité, le fait de prier derrière tout pieux ou tout corrompu comme il est obligatoire de prier derrière tout pieux et tout corrompu.
Donc nous disons maintenant que certains compagnons contredisaient le calife dans son avis et dans son ijtihad mais malgré cela, étaient ils mis à l’écart du groupe des musulmans? par exemple, Umar radhi allahou anhou avait des ijtihad dans certaines questions et dans la plus part d’entre eux il a atteint (l’avis correct) et dans un petit nombre d’entre eux il s’est trompé.
Parmi ce petit nombre sur lesquels il s’est trompé se t
L’important est que ce cheikh Taj Addin ibn Badruddin était un président républicain avec un turban blanc sur sa tête et sur son tarbush (chapeau rouge) parce qu’il a vécu comme cela et ceci faisait bien sûr parti de la politique française afin de garder le calme dans le pays qu’ils avaient colonisé.
Donc ils ont vu qu’il fallait mettre en place pour les musulmans un Président républicain âgé avec un turban, cet homme était shafiite alors il a changé le système de la prière donc il a fait prier l’imam shafiite avant l’imam hanafite , ceci fait parti des traces de fanatisme envers une école juridique et la recherche ici dans ce sujet est trés longue, mais il suffisant maintenant de ne citer qu’une référence rapide:
-Quant à nos pieux prédécesseurs , ils étaient une seule et même main et un seul et même bloc, ils priaient derrière un seul imam, peu importe comment cet imam avait fauté selon leur avis.
Il était possible de trouver chez les salafs quelqu’un qui disait bien plus que la divergence qui existe encore entre Hanafites et malikites par exemple.
Donc les hanafites sont d’avis que la sortie du sang de n’importe quel endroit du corps d’un volume de mille, dépassant un volume de mille fait perdre les ablutions tandis que les shafiites sont d’avis que cela ne fait pas perdre les ablutions.
On trouve parmi les pieux prédécesseurs celui qui a un avis semblable au joumhour des compagnons et dessus un consensus de la communauté plus tard que si un homme a des relations sexuelles avec sa femme et qu’il n’éjacule pas alors il ne lui est pas obligatoire de faire les grandes ablutions, ceci est l’avis de certains grands compagnons contredisant le joumhour des compagnons qui disent ce que le prophète aleyhi salaat wa salaam a dit (Si les deux sexes se touchent alors les grandes ablutions sont obligatoires qu’il y ait eut éjaculation ou non), ce hadith a été abrogé par sa parole aleyhi salaam (lorsque le liquide (de l’homme) qui se mélange avec le liquide (de la femme)).
Donc à certains compagnons est parvenu ce second hadith (lorsque le liquide qui se mélange avec le liquide).
Donc ils ont émis comme fatwa que l’homme qui a eut une relation sexuelle avec sa femme et n’a pas éjaculé alors il n’y avait rien sur lui hormis les petites ablutions et que les grandes ablutions ne lui était pas obligatoire mais à ces autres compagnons leur étaient parvenu l'autre hadith et qui est sa parole aleyhi salaam (Si les deux sexes se touchent alors les grandes ablutions sont obligatoires qu’il y ait eut éjaculation ou non).
Malgré cela tu voyais ceux la, prier derrière celui qui disait que les grandes ablutions n’était pas obligatoire pour cet homme, ceci ressemble beaucoup aux divergences qui existent entre les écoles juridiques jusqu’à aujourd'hui, mais nous voyons la grande différence entre la divergence des pieux prédécesseurs et la divergence des khalaf.
La divergence des pieux prédécesseurs était d’ordre de l’effort d’interprétation (ijtihad) et intellectuellement, mais elle n’était pas d’ordre physique, elle ne les divisait pas, par conséquent ils priaient derrière un seul imam, par conséquent est venu dans les livres des croyances saines que parmi les croyances des pieux prédécesseurs dont les khalaf ont hérité, le fait de prier derrière tout pieux ou tout corrompu comme il est obligatoire de prier derrière tout pieux et tout corrompu.
Donc nous disons maintenant que certains compagnons contredisaient le calife dans son avis et dans son ijtihad mais malgré cela, étaient ils mis à l’écart du groupe des musulmans? par exemple, Umar radhi allahou anhou avait des ijtihad dans certaines questions et dans la plus part d’entre eux il a atteint (l’avis correct) et dans un petit nombre d’entre eux il s’est trompé.
Parmi ce petit nombre sur lesquels il s’est trompé se t
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[12:26:01 AM]Www.Cheikhalalbani.com:
rouve l’interdiction pour les musulmans de rassembler entre la umra et le hajj et il leur a ordonné d’isoler le hajj (de la umra) alors que le Prophète salallahou aleyhi wa ahlihi wa sallam avait approuvé l'annexion ou le rassemblement du hajj et de la umra de deux façons.
La première façon est le pélerinage AlQiran mais il aleyhi salaam la approuvé pour celui qui ramène son offrande avec lui depuis "Alhil" (premier jour des jamarat ou de rasage de la tête). Quant à celui qui n’avait pas ramené son offrande depuis "Alhil" alors il lui a ordonné "al fasakh" qui est un des types du pèlerinage tamattou3 qui est de jumeler entre le hajj et la umra avec le fait de ramener l’offrande, ceci est un des types de tamattou3 et l’autre type de tamattou3 qui est le plus général et le plus complet pour nous et qui enlève le problème, est le fait de faire d’abord la umra ensuite le hajj et ce type de pèlerinage est celui que le prophète a notifié en dernier aux gens lors du hajj d’adieu comme cela est connu parmi ses célèbres paroles aleyhi salaam (au cours du pèlerinage d'adieu à l'adresse de ceux qui, parmi ses compagnons radhi Allahou anhoum, n'avaient pas apporté l'offrande : Nouez l'intention d'accomplir une Umra (au lieu d'un Hajj), si j'avais su ce que je viens de savoir je n'aurais pas apporté d'offrande et j'aurais noué l'intention d'accomplir une Umra (au lieu de ce Hajj)...
Ceci est ce qu’a dit le prophète aleyhi salaam lors du pèlerinage d'adieu, et c’est la seule preuve qui a été apporté par le prophète aleyhi salaam après la descente de la révélation sur lui et il a déclaré avec cela le jugement explicite et clair mais malgré cela Umar radhi Allahou anhou voyait de la prudence face à celui ci et à la propagation des voyageurs et l’augmentation des voyages vers la maison sacrée d’Allah.
Il était d’avis de la séparation entre la umra et le hajj en deux voyages afin de multiplier la visite des gens à la mosquée et dans cela (le fait de faire multiplier aux gens leur visite de Mekka) s’y trouve un intérêt religieux pour la nation islamique ce jour-là.
Cela m’importe peu aujourd’hui de dire si cette effort interprétation est correct ou faux ou comme concernant son effort interprétation quant à effectuer le divorce en le prononçant 3 fois lors dune seule prononciation, est elle une politique légiférée authentique ou non.
Cela nous importe peu parce que la politique légiféré peut avoir un temps déterminé, que ce soit à un seul moment donné et un seul endroit donné ou à un moment donné et d'autres endroits donnés, puis cette politique disparait quand le besoin disparait et peu m’importe cela mais ce qui m’importe est la chose suivante: Est-il correct de prendre la politique de Umar dans chacune des deux questions de shariah sur lesquels les musulmans continueront jusqu’au jour de la Résurrection et qui codifie la shariah et qui est que le divorce avec trois prononciations en une seule fois équivaut à un seul divorce tout en sachant que le Prophète salallahou aleyhi wa sallam, à sa mort a dit que ce divorce est considéré comme un seul divorce (et non trois) .
Il n’est pas possible que le musulman orononce ce jugement qui contredit la shariah, il lui suffit de dire que c’est l’effort d’interprétation de Umar, cela est du a son ijtihad à son époque, quant à ce qui va après cette époque alors il n'est pas permis d'y recourir.
Le point important est qu'il a interdit le pèlerinage tamattou3 avec la umrah jusqu'au Hajj, même si le Qur'aan a explicité: (quiconque a joui d'une vie normale après avoir fait la Umra en attendant le pèlerinage, doit faire un sacrifice qui lui soit facile), jusqu’à la fin du verset, ensuite Umar radhi Allahou anhou est mort sur cette politique qu’il voyait (comme correcte), bien qu’il soit rapporté de lui une narration-(("si la religion était avec passion"))-car nous espérions que cette narration soit authentique donc il est dit que Umar souhaitait que trois choses soient demandés au Messager d’Allah, concernant "les collatéraux" (homme décédé sans postérité) et qu’il revienne sur sa parole au suje
La première façon est le pélerinage AlQiran mais il aleyhi salaam la approuvé pour celui qui ramène son offrande avec lui depuis "Alhil" (premier jour des jamarat ou de rasage de la tête). Quant à celui qui n’avait pas ramené son offrande depuis "Alhil" alors il lui a ordonné "al fasakh" qui est un des types du pèlerinage tamattou3 qui est de jumeler entre le hajj et la umra avec le fait de ramener l’offrande, ceci est un des types de tamattou3 et l’autre type de tamattou3 qui est le plus général et le plus complet pour nous et qui enlève le problème, est le fait de faire d’abord la umra ensuite le hajj et ce type de pèlerinage est celui que le prophète a notifié en dernier aux gens lors du hajj d’adieu comme cela est connu parmi ses célèbres paroles aleyhi salaam (au cours du pèlerinage d'adieu à l'adresse de ceux qui, parmi ses compagnons radhi Allahou anhoum, n'avaient pas apporté l'offrande : Nouez l'intention d'accomplir une Umra (au lieu d'un Hajj), si j'avais su ce que je viens de savoir je n'aurais pas apporté d'offrande et j'aurais noué l'intention d'accomplir une Umra (au lieu de ce Hajj)...
Ceci est ce qu’a dit le prophète aleyhi salaam lors du pèlerinage d'adieu, et c’est la seule preuve qui a été apporté par le prophète aleyhi salaam après la descente de la révélation sur lui et il a déclaré avec cela le jugement explicite et clair mais malgré cela Umar radhi Allahou anhou voyait de la prudence face à celui ci et à la propagation des voyageurs et l’augmentation des voyages vers la maison sacrée d’Allah.
Il était d’avis de la séparation entre la umra et le hajj en deux voyages afin de multiplier la visite des gens à la mosquée et dans cela (le fait de faire multiplier aux gens leur visite de Mekka) s’y trouve un intérêt religieux pour la nation islamique ce jour-là.
Cela m’importe peu aujourd’hui de dire si cette effort interprétation est correct ou faux ou comme concernant son effort interprétation quant à effectuer le divorce en le prononçant 3 fois lors dune seule prononciation, est elle une politique légiférée authentique ou non.
Cela nous importe peu parce que la politique légiféré peut avoir un temps déterminé, que ce soit à un seul moment donné et un seul endroit donné ou à un moment donné et d'autres endroits donnés, puis cette politique disparait quand le besoin disparait et peu m’importe cela mais ce qui m’importe est la chose suivante: Est-il correct de prendre la politique de Umar dans chacune des deux questions de shariah sur lesquels les musulmans continueront jusqu’au jour de la Résurrection et qui codifie la shariah et qui est que le divorce avec trois prononciations en une seule fois équivaut à un seul divorce tout en sachant que le Prophète salallahou aleyhi wa sallam, à sa mort a dit que ce divorce est considéré comme un seul divorce (et non trois) .
Il n’est pas possible que le musulman orononce ce jugement qui contredit la shariah, il lui suffit de dire que c’est l’effort d’interprétation de Umar, cela est du a son ijtihad à son époque, quant à ce qui va après cette époque alors il n'est pas permis d'y recourir.
Le point important est qu'il a interdit le pèlerinage tamattou3 avec la umrah jusqu'au Hajj, même si le Qur'aan a explicité: (quiconque a joui d'une vie normale après avoir fait la Umra en attendant le pèlerinage, doit faire un sacrifice qui lui soit facile), jusqu’à la fin du verset, ensuite Umar radhi Allahou anhou est mort sur cette politique qu’il voyait (comme correcte), bien qu’il soit rapporté de lui une narration-(("si la religion était avec passion"))-car nous espérions que cette narration soit authentique donc il est dit que Umar souhaitait que trois choses soient demandés au Messager d’Allah, concernant "les collatéraux" (homme décédé sans postérité) et qu’il revienne sur sa parole au suje
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[1:17:00 AM]:
sujet des trois divorce et qu’il soit au nombre de trois fois (en une seule fois) et qu’il interdise aux gens le tamattou3 de la umra jusqu’au hajj, malgré que la narration soit faible bien nous espérions qu’il est bien dit cela en réalité mais cela ne nous pouvons pas le dire, surtout que Uthman radhi Allahou anhou a hérité de cette politique de son prédécesseur et du second calife Umar Ibn al-Khattab.
Il est venu dans le Sahih Mouslim que Ali radhi allahou anhu est venu à Uthman et qu’il lui était parvenu qu’il interdisait aux gens le tamattou3, (Ali lui a dit): qu’est ce que t’arrives avec les gens, tu leurs interdit le tamattou3 alors que nous l’avions fait à l'époque du Messager d'Allah salallahou aleyhi wa sallam, (alors Ali a dit)" labayk allahoumma bilumra."
Il s’est confronté à lui et c’était le calife et il était son suiveur et il lui avait prêté allégeance. Donc est ce que Uthman radhi Allahou anhou a jugé bon envers ce compagnon de le mettre a l’écart non pas parce qu'il était en désaccord avec lui mais parce qu’il s’était confronté à lui et avait dit qu’il s’était trompé en lui disant: "toi tu interdit aux gens durant les mois du Hajj et de combiner le Hajj et la umra".
Donc je dis "labayk allahoumma bihajj wa umra", il ne l’a pas mis à l’écart en réalité car cette mise à l’écart est très dangereuse car elle ressemble a celui qui meurt en dehors du groupe alors il est mort d’une mort païenne et ceci fait parti des malheurs qui ont été adopté de la politique de certaines sectes parce qu'elles ressemblent à la politique majeure et elles organisent sur cette politique des règles comme des règles de politique majeure et l’imama majeure, ils obligent de lui prêter allégeance puis sur celle ci ils organisent l’obligation de la respecter (cette politique) ensuite ils organisent sur celle ci la mise à l’écart de celui qui n’a pas mis en œuvre un fragment de celle ci.
Donc ceci est une innovation en religion sur laquelle Allah n’a fait descendre aucune autorité et toutes les louanges appartiennent au seigneur des mondes.
Traduit par Abdoullaah Abu Edem
Il est venu dans le Sahih Mouslim que Ali radhi allahou anhu est venu à Uthman et qu’il lui était parvenu qu’il interdisait aux gens le tamattou3, (Ali lui a dit): qu’est ce que t’arrives avec les gens, tu leurs interdit le tamattou3 alors que nous l’avions fait à l'époque du Messager d'Allah salallahou aleyhi wa sallam, (alors Ali a dit)" labayk allahoumma bilumra."
Il s’est confronté à lui et c’était le calife et il était son suiveur et il lui avait prêté allégeance. Donc est ce que Uthman radhi Allahou anhou a jugé bon envers ce compagnon de le mettre a l’écart non pas parce qu'il était en désaccord avec lui mais parce qu’il s’était confronté à lui et avait dit qu’il s’était trompé en lui disant: "toi tu interdit aux gens durant les mois du Hajj et de combiner le Hajj et la umra".
Donc je dis "labayk allahoumma bihajj wa umra", il ne l’a pas mis à l’écart en réalité car cette mise à l’écart est très dangereuse car elle ressemble a celui qui meurt en dehors du groupe alors il est mort d’une mort païenne et ceci fait parti des malheurs qui ont été adopté de la politique de certaines sectes parce qu'elles ressemblent à la politique majeure et elles organisent sur cette politique des règles comme des règles de politique majeure et l’imama majeure, ils obligent de lui prêter allégeance puis sur celle ci ils organisent l’obligation de la respecter (cette politique) ensuite ils organisent sur celle ci la mise à l’écart de celui qui n’a pas mis en œuvre un fragment de celle ci.
Donc ceci est une innovation en religion sur laquelle Allah n’a fait descendre aucune autorité et toutes les louanges appartiennent au seigneur des mondes.
Traduit par Abdoullaah Abu Edem
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